Mon journal d'écriture

L’activité de cette semaine était de composer de petits poèmes que nous devions écrire dans certaines situations.

Commentaire

            J’ai plus ou moins aimé l’activité de cette semaine qui était de composer de courts poèmes. Je ne dis pas que je n’aime pas les poèmes, mais je n’ai vraiment aucun talent pour cela. Bien sûr, je fais partie de ceux qui n’ont pas fait d’activité d’écriture de ce genre au primaire et au secondaire. Peut-être est-ce pour cela que je n’aime pas les poèmes? Dans mon cours de Littérature québécoise, au cégep, nous avons analysé plusieurs poèmes, mais nous n’étions pas obligés d’en composer. Cette activité m’a demandé un gros effort mental puisque je ne suis pas habituée de lire ce genre de texte et d’en faire. Cela me fait penser que je ne voudrais pas que mes élèves se retrouvent dans le même genre de situation que moi. Il faudra que je m’intéresse davantage à la lecture des poèmes pour arriver à mieux les expliquer à mes élèves. Il faudra aussi que je développe le goût de cette lecture pour pouvoir la transmettre à mes élèves. Ainsi, peut-être qu’en étant plus informé sur les divers aspects des poèmes, je finirai par aimer cela. Plusieurs activités très intéressantes nous ont été présentées dans le cours et j’aimerais vraiment que mes élèves, peu importe le cycle, puissent en profiter.

Angélique Grenier

Petite histoire regroupant plusieurs types de phrases. (Déclarative, interrogative, exclamative, affirmative, passive, active, négative et impérative.)

            Joël marchait lentement dans le parc. « Mais que vais-je bien faire aujourd’hui? », se demanda-t-il. Tout à coup, il s’arrêta. Quelque chose venait d’attirer son attention. « Quelle merveilleuse fleur! », s’écria-t-il. Il n’en avait jamais vu comme celle-ci. Il trouva cette fleur fort belle et colorée. Joël continua de marcher en direction du port. Tout à coup, il entendit : « Attends, Joël! ». Joël se retourna et arriva face à face avec Léanne, sa voisine. Il ne l’aimait vraiment pas. Elle ressemblait à une pomme séchée sur un comptoir de cuisine. Quelle malchance!

Commentaire :

            J’ai trouvé cette activité très plaisante à réaliser. J’ai bien aimé regrouper plusieurs types de phrases dans une même histoire. C’était différent et enrichissant. Par contre, j’ai eu un peu de difficulté à placer une phrase passive dans mon texte. J’ai essayé de faire une comparaison pour qu’on retrouve ce genre de phrase, mais ce fût difficile. J’ai vraiment dû faire appel à mon imagination pour inventer une histoire de ce genre. L’activité d’écriture de cette semaine m’a fait penser que nous pouvons aussi, en tant qu’enseignantes, faire ce genre d’exercice avec eux. Bien sûr, cela dépend du niveau des élèves, mais même avec la connaissance de quelques types de phrases, il serait intéressant de créer une histoire que les élèves pourraient faire lire aux autres élèves par la suite. Ainsi, tous les élèves pourraient se faire évaluer par leurs pairs et les discussions seraient intéressantes et enrichissantes pour ceux qui ont un peu plus de difficulté. De plus, il faudrait demander aux élèves d’écrire une histoire qui se tient debout, c’est-à-dire avec une cohérence, un début, un milieu et une fin. Elle ne serait pas obligée d’être bien longue. En outre, pour l’enseignante, cela lui permettrait de voir si les élèves ont bien compris la différence qui existe entre les types de phrases. Il ne faut pas oublier que faire la distinction entre les types de phrases leur sera bénéfique au secondaire.

Angélique Grenier

Carte conceptuelle

Commentaire : Avant de donner mon point de vue sur l’activité concernant la carte conceptuelle, je voudrais spécifier que j’ai fait la mienne en ayant comme idée principale les sports. J’ai ensuite subdivisé mon idée principale par différents concepts tels que : individuels, équipes, alimentation, élites et physique. Par conséquent, pour chacun de ces concepts, j’ai ajouté d’autres mots-clés. J’ai trouvé cette activité assez simple et très diversifiée par rapport aux autres activités vécues puisque le thème choisi était entièrement libre. Je pense qu’en tant qu’enseignante, je ferais faire cet exercice à l’oral pour les élèves de première année en inscrivant au tableau toutes les suggestions pour ensuite les classer avec eux. Ainsi, ils seraient en mesure de voir le début d’une planification de texte. À partir des élèves de deuxième année, je leur demanderais de faire cette activité, soit solitairement ou en équipe, mais de façon écrite. Sans que j’aie à le faire au tableau. En outre, il serait intéressant de faire l’inverse aussi, c’est-à-dire que les élèves inscrivent, point par point, la planification de leur texte et qu’ensuite ils fassent leur carte conceptuelle.

Angélique Grenier

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Commentaire :

         J’ai trouvé cette activité très amusante. Je considère que c’est une bonne façon de valoriser un élève et, par la même occasion, de lui faire voir qu’il a des qualités. Ainsi, même si cet exercice est relativement court, l’élève se sent beaucoup plus motivé et concerné puisqu’il parle de lui. J’ajouterais à cela que dans ma classe, j’aurais probablement proposé des situations aux élèves. Par exemple, faire faire aux élèves une publicité sur eux en énumérant leurs qualités, mais de façon dramatique, humoristique, poétique ou sous forme de bande dessinée. Ceci est un bon moyen de rendre l’activité d’écriture encore plus intéressante. En outre, la compétence transversale travaillée, qui était de structurer son identité, n’était pas évidente. En effet, c’est une compétence que je trouve difficile à travailler en écriture. Ce serait facile de demander aux élèves d’écrire seulement leurs qualités sur une feuille, mais pas très amusant et intéressant pour eux. Cet exercice est une bonne façon, pour l’élève, de se vanter et de se rendre compte des qualités qu’il a. Finalement, cette semaine, j’ai aussi aimé l’activité d’écriture parce que c’était une structure libre, contrairement à la semaine dernière où la structure était imposée. Bref, j’ai eu beaucoup d’idées avant de me décider à laisser aller mon imagination.

Mes vacances d’été

Comme la plupart de mes collègues universitaires, j’ai passé la majeure partie de mon été à travailler. J’ai travaillé au Centre de la petite enfance Des premiers pas, situé à Hull. Par contre, j’ai aussi eu droit à des vacances bien méritées avant de revenir à l’Université du Québec en Outaouais. J’ai passé 9 jours à Jackson, au New Jersey. Je suis allée dans un parc d’attractions nommé Six Flags Great Adventure and Wild Safari. J’ai essayé des manèges vraiment amusants, beaucoup plus qu’à La Ronde de Montréal. Par exemple, l’un des manèges que j’ai essayés est celui qui, à ce jour, est le plus rapide au monde. Il se nomme Kingda Ka et atteint une vitesse de 225 km/h en trois secondes et il a une hauteur de 456 pieds. Il est très amusant et il donne beaucoup de sensations fortes. Je suis aussi allée à Wild Safari, qui ressemble au Parc Safari mais en beaucoup plus long, et finalement à Six Flags Hurricane Harbor, qui est un très beau et très grand parc aquatique. Après ces 9 jours bien remplis, je suis allée me détendre pendant 5 jours dans un Days Inn situé à Niagara Falls, en Ontario. J’ai visité l’endroit parce qu’il y avait plusieurs choses à faire et à voir. Bien sûr, je suis allée voir les Chutes Niagara. Je suis même allée dans les cavernes qui sont situées sous les Chutes Niagara et j’ai trouvé cela très impressionnant. Finalement, j’ai dû revenir puisque nous recommencions l’école. Je garde de ces vacances de très bons souvenirs et surtout, de grandes palpitations cardiaques.

Commentaire :

            J’ai bien aimé faire cet exercice, mais je me rappelle qu’au primaire j’aimais bien faire ce genre de récit à la rentrée. Cela me permettait de savoir ce que mes amies et amis avaient fait durant leurs vacances d’été. Plusieurs de mes enseignants de l’époque nous demandaient souvent de dire une anecdote qui nous était arrivée. C’était très amusant. L’exercice de cette semaine m’a fait prendre conscience que depuis le secondaire, je dois toujours faire un brouillon papier avant de l’écrire au propre parce que j’écris toujours trop de choses et que je dois en couper. Donc, c’est important, pour moi, de faire un brouillon sur lequel j’écris, je raye et je corrige mon texte. Finalement, cet exercice m’a rappelé de très bons souvenirs de mon été.